Un nouveau concept de l'élevage : le courtage se généralise, non seulement l'éleveur place ses reproducteurs, mais à présent, il serait aussi propriétaire de ses clients.
Fallait y penser, business is business!
C'est l'histoire d'une éleveuse (éleveuse A) qui a eu trois portées dans sa vie dont deux issues d'une chienne , sa première (appelons la Alpha), achetée à une éleveuse de longue date (éleveuse B) qu'elle s'évertue à dénigrer depuis, avec l'aide d'un faux-cul qui ne recule devant rien pour accroître son territoire commercial (et vendre ses saillies).
La cliente venant de perdre accidentellement un chien issu d'Alpha, s'adresse tout naturellement à l'éleveuse d'Alpha (éleveuse B).
Apprenant la chose, l'éleveuse A s'évertue à dissuader la cliente de prendre un chiot chez l'éleveuse B, au point de lui envoyer une dizaine de textos alors qu'elle se trouve chez elle , où elle trouve son bonheur avec lequel elle repart.
Deux heures plus tard, elle ramène son chiot, arguant qu'elle a trouvé mieux chez le faux-cul chez lequel elle s'est rendue sur le conseil de l'éleveuse A.
Moi, je n'aurais pas remboursé.
Les pigeons, on les traite en pigeons, il n'y a aucune raison pour que seuls les tordus en profitent.