Facebook se déchaîne actuellement contre les salons de ventes de chiots dont certains, achetés dans ces salons, se sont avérés atteints de parvovirose à laquelle ils n'ont pas survécu.
Rappelons juste que ces salons sont légaux et sous contrôle vétérinaire.
Que ce sont les vétérinaires qui vaccinent les chiots à la date qu'ils choisissent eux-mêmes (souvent beaucoup trop tôt pour que le vaccin soit efficace) avec le vaccin de leur choix (parfois celui du labo qui leur sert les rétrocommissions les plus importantes) et qu'ils ont fait de cette pratique un
monopole.
Et contre qui se déchaîne-t-on sur Facebook ? contre les éleveurs de ces chiots qui ont fait confiance à leur véto dûment rémunéré pour ses actes.
S'arranger pour obtenir ce genre de monopole, c'est déjà très fort, s'absoudre de la responsabilité qui devrait logiquement en résulter et la faire supporter par ses clients, alors là, chapeau bas
Car c'est naturellement contre les éleveurs que se focalisent les représailles, on va même jusqu'à les citer ces éleveurs inqualifiables qui, pour tenter de remédier à la concurrence de plus en plus importante et déloyale des particuliers, n'ont souvent pas d'autre choix que de "faire" les salons ou de vendre en animalerie.
Faut dire, le particulier, qui prétend mieux élever que l'éleveur professionnel, ne comprend pas qu'à raison d'une portée par an il puisse représenter une quelconque gène. Il oublie juste de multiplier par le nombre de ses semblables qui ne fait que croître.
Quant à ceux qui se plaignent, qu'ils ne s'en prennent qu'à eux. Personne ne les a obligés à acheter au plus près ni au supermarché.
A lire les énormités de Facebook, je me félicite tous les jours de travailler en circuit fermé jusqu'à n'accepter
aucune visite de client avant les
six semaines de mes chiots.
Et à six semaines, il est rare qu'il y en ait encore à réserver ! Oh quelle horreur !!! réserver sans voir hurleront ceux qui ont vu, bien vu, rien compris, acheté et osent s'en plaindre ensuite...