Pas de mise-bas, pas de client, je suis restée au lit avec mes croissants et mes jus de fruits pour regarder le défilé.
Ce sont les cadets mexicains fauconniers, avec leur pas de mannequin et leurs trois aigles royaux (sans capuchon), Zeus, Apollo et Athena qui ont ouvert le bal, et, comme d'habitude, la légion étrangère au pas lourd qui y a mis fin.
Puis, après les avions alignés au cordeau, les engins étincelants et les chevaux chamarrés, les sauts impressionnants de six parachutistes atterris place de la Concorde debout et dans un mouchoir de poche.
Quelle impeccable chorégraphie !
Une démonstration martiale qui a fini par laisser la place à l'empathie avec le salut personnel du Président de la République aux familles de victimes et à quelques autres.
Les Champs Elysées étaient noirs de monde, la musique qui marche au pas valait bien le détour.